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Fantaisies de Mise

24 novembre 2013

Sacrifiée

sacrifiée sadida

ne pas faire attention aux fautes j'étais encore jeune.

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16 novembre 2013

Petit sadida lançant tremblement

003
11 novembre 2013

L'histoire de Keenan

Dans les grandes histoires on parle de héros, survivants à de nombreuses batailles, des combats contres des dragons, des monstres horribles, quasiment invulnérables.

Seulement on ne parle pas des vrais héros, ceux qui meurent pour sauver des gens qui lui sont inconnu. Des héros qui se sacrifient pour sauver leur roi en prenant un coup de hache à leur place.

C’est de ce genre de héro dont va parler cette histoire.

Keenan est un jeune Féca engagé lors de la première bataille de l’aurore pourpre. Les Brakmariens envahissaient les quartiers de Bonta les uns après les autres, tuant, pillant et détruisant tout sur leur passage. La plupart des fortifications étaient tombées, de la fumée s’échappait des maisons incendiées. Le port était bondé de toutes les familles de commerçants et autres civils en pleurs tentant de s’échapper. Les pleurs couvraient presque les cris de la bataille qui faisait rage.

Keenan, dix sept ans, était près à monter dans un bateau de commerce, sa mère et sa sœur étaient déjà dans le bateau, les dernières familles montaient à bord. Mais dans l’esprit de ce féca qui avait vu son père revêtir son armure et partir au front, l’envie d’aider son père était plus forte que celle de sa survie.

C’est là qu’il prit sa décision, lorsqu’il aperçu des brakmariens se lancer à l’assaut du port et des bateaux. Il prit son Bâton, sauta de l’échelle et s’élançât à l’encontre des assaillants qui armaient leurs flèches pour brûler les voilures des navires. Sont élan aidant, il frappât si fort deux archers qu’ils succombèrent sur le coup.  Il reprit alors sa course vers trois goules qui sortaient du coin d’une rue. Il lançat les sorts de protections suppliant ainsi sa déesse de le protéger. Féca dû l’entendre, car il fît les plus beaux boucliers qu’il eu jamais fait de sa courte vie. Les coups ne semblaient même pas le chatouiller.

Il fut alors rejoint par quelques uns des 300 bonsiâtes réservistes qui avaient pour mission de protéger les familles qui fuyaient.

Ses attaques étaient violentes et précises, les os de ses ennemis se brisaient sous chacun des  coups qu’il portait. Les corps commençaient à s’accumuler sur tout le port. Les bateaux partaient mais étaient encore à portée des flèches. Il fallait tenir.

Keenan brisât sur le crane d’un démon son bâton, il prit alors un glaive abandonné au sol et se rua sur un brakmarien qui allait achever un soldat. Le guerrier immense s’effondra transpercé de part en part sur le soldat au sol qui ne vit qu’une lame sortir et se retirer du démon qui allait le tuer. Seulement, des archers arrivaient en nombre et encochaient déjà leurs flèches. Keenan prit une flèche dans la cuisse. Malgré la douleur, la rage du combat était la plus forte. Il brisât la flèche et lançât son glaive sur un archer qui le pris dans le cou et s’étalât au sol à moitié égorgé. Le soldat qui venait de sauver lui fit glisser son épée dans sa direction en l’encourageant, ce dernier était écrasé par le cadavre et ne pouvait plus bouger. Il roulât, empoignât l’épée et re-chargeât encore l’ennemi.

En chargeant, il interceptât  deux flèches de l’épée qu’il brandissait, Il tranchât les bras des archers qui réencochaient leurs flèches. Enfonçât sa tête dans l’estomac du troisième archer avant de prendre la dague de se dernier et de l’enfoncer dans son torse, en remontant la lame d’un coup sec. Il fût suivit par deux soldats qui, impressionné par son courage ou sa folie, voulurent le soutenir. Ces derniers tuèrent trois autres archers qui commençaient à empoigner leurs lames. Un brakmarien à dragodinde vît la scène et les chargeât hallebarde au poing. Keenan se baissât au bon moment et coupât une des pattes de la monture qui s’écrasât et glissât au sol répandant du sang sur toute la longueur avant de finir dans le port.

Les bateaux étaient hors de portée des flèches, le port n’avait plus d’intérêt vidé des navires, il prit donc la direction des quartiers en feu, là ou les cris de bataille étaient nombreux et terrifiants. Il se retournât cependant sur le soldat au sol écrasé par le guerrier. Ce soldat lui demandât son nom, il lui répondit avant de recharger à travers les maisons en flammes, couvert de sang et fatigué.

C’est une histoire que j’ai voulu vous raconter car l’on ne parle pas assez de ces héros qui donnent leur vie lors des batailles. Ce soldat écrasé c’était moi, Maur Tadel soldat réserviste de l’armée de Bonta en l’an 24. J’ai identifié son corps, transpercé de trois flèches et tailladé de multiples lames, son visage avait encore les traits de la jeunesse déformé par la rage qui l’animait au début de la bataille du port de Bonta.

J’ai mis des années à retrouver sa famille. Je les ai guidés sur sa tombe au cimetière de la cité blanche. C’était mon devoir.

Maur Tadel, an 32

 

Feuillet de parchemin retrouvé dans les archives de la milice, dans le livre « Les héros de Bonta ».

4 novembre 2013

La première rasade

Comme vous le savez peut-être, il existe une extension du jeu de carte wakfu TGC ou un truc comme ça… Pandala ; La dernière rasade.

Je me suis posée la question ; Parce qu’il y a eu des rasades avant ?

J’ai décidé d’exploiter cette dimension rasade /croisade à travers un ancêtre de mon perso sur Dofus.

Sous le titre ;

 

La bataille des plaines de Cania ou La Première Rasade.

 

Pandala à l’époque n’était encore qu’une île isolée, il n’existait pas encore de pont qui relie l’île des Pandawas et le continent. Les seuls échanges qui s’effectuaient étaient le commerce de bois de bambou, de boucliers  et de l’alcool, si toutefois il restait quelques fûts.

 

 

Pour changer, Bonta et Brâkmar se faisaient la guerre. Mais isolés sur l’île, seulement des rumeurs et récits de batailles leur parvenaient. Jusqu’au jour où Brâkamar levât la plus grande armée du continent jamais rassemblée.  Cette armée, dont pris la tête Djaul (vite dit puisqu’il marchait derrière la colonne), était formée de dix milles hommes, goules, vampires et autres démons, chafers et morts-vivants qui marchaient sur Bonta.

La perfidie mélée à l’esprit de stratège du démon l’ont poussé lui et son armée à contourner les montagnes par l’est et ravager tout les villages alliés aux anges de Bonta. Amakna fût rasée, Astrub tombât au bout de dix minutes (mais elle fût etrangement épargnée ; les démons dégoutés d’une victoire aussi facilement gagnée, laissèrent la ville intacte).

 

 

Sur Pandala, assourdis par les cris de souffrances et sons de la destruction portée par le vent, le Granpanda décidât de prendre parti. Il fut décidé d’envoyer tous les guerriers sur les bateaux de commerce réquisitionnés  aux amaknéens réfugiés. L’ile fut vidée de tous ses habitants. Seul, restaient les infirmes inaptes au combat et les enfants.

Lorsque les bateaux partirent pour les plaines de Cania, les tavernes n’ont jamais été aussi vides sur Pandala.

                Aucuns pandas ne savaient pas exactement contre quoi, ils allaient se battre. Ce dont ils étaient sure c’est qu’il y avait de l’alcool à bord et qu’ils n’avaient pas le droit d’y toucher, sur ordre du Granpanda. Ce qui rendu fou certains d’entre eux.

                 Le vieux filou, à moitié gâteux cachait bien son jeu. Certes, il était gâteux, mais pas seulement. Le Granpanda à passé une bonne parti de sa vie à rechercher des livres sur les techniques des arts martiaux et stratégiques. Il est devenu ainsi, en apprenants tout ces livres, un remarquable stratège.

                A leur arrivée sur les plages, les Pandawas montèrent le campement et envoyèrent des troupes en reconnaissance pour constater la progression des troupes de Brâkmar.

                Pendant la nuit, une fois les tantes installées, la réunion de campagne eu lieux. Seuls les quatre généraux connurent  le plan quelques heures avant la bataille. Mais une fois la réunion passée, quand les cinq généraux sortirent de la tente de commandement, le sourire aux lèvres, confiants à l’issue de la bataille, rassurèrent leurs quatre cent cinquante trois soldats.

               

 

                Au petit matin, les troupes de Brâkmar étaient là. Plusieurs colonnes de soldats se succédaient à perte de vue. Sombres et inquiétantes, les colonnes juraient dans le paysage qu’elle foulait de ses pieds. Mais, ni Le Granpandan ni les généraux ne montraient signe de sentiment sur leurs impassibles visages. Ils gonflaient le torse, face au vent, respirant l’air fétide que dégageais l’armée des démons.

                Le plan, alors en place, pouvais commencer.

                Chaque général, rejoignît ses troupes. Les Guerriers, maitrisant l’eau, étaient postés sur les plages, dos à la mer  et sentaient la magie qui émanait des vagues. Les autres Pandas, comme une seule longue et grande cooleuvre, prenaient place, face à l’armée de Djaul, sur les quelques reliefs des plaines de Cania.

 

                L’armée de monstres ne pût que rire face à la situation. Comment quatre cent cinquante hommes pourraient faire face à dix milles adversaires ? Du courage, un suicide collectif, pour Djaul, c’est du pareil au même ; il demandât donc que l’on piétine les cadavres de ces bougres d’imbéciles au plus vite. Lorsque les premières lignes de démons se lancèrent en direction des Pandawas, ces derniers passèrent de quatre cent cinquante à sept cent soldats.

                Le premier ordre était donné. L’invocation de pandawastas sur leur tonneau permit de les déboucher et aux Pandawas de prendre leur première rasade. Une fois biens beurrés, les pandawas poussèrent les pandawastas du haut des reliefs pour les faire entrer en contacte direct avec la première ligne des démons de Djaul. 

                La collision fut très rude, des milliers de litres d’alcool de riz que contenaient les tonneaux étaient répandues sur le sol. Le plan du Granpanda se déroulait comme prévu. La suite du plan s’annonçait encore meilleure. Le général  et les troupes de l’élément du feu s’avancèrent  de quelque pas et embrasèrent de leurs poings l’alcool répandue sur le sol. Les flammes, guidées par les trainées d’alcool laissées par les tonneaux des pandawastas, se dirigèrent droit vers les Brâkmariens dont elles mirent feu à la première ligne.

                Surpris d’une telle habileté, Djaul perdit sourire et sang froid. Il lança contres les pandas deux autres vagues de démons. Ce fût au tour des pandas de l’air de jouer. Ils s’avancèrent pour rejoindre les Pandas du feu. C’est alors que tous, d’un seul homme soufflèrent de leur souffle alcoolisé en direction des flammes qui finissaient de brûler les premières lignes. Le souffle d’une puissance incroyable se changea en vent qui fît pencher les flammes sur les lignes suivantes de l’armée de Brâkmar.

                Ce faire avoir à deux reprises, en moins de deux minutes, rendît furieux Djaul. Vert de  rage et rouge de colère (non il ne passât pas à l’orange) le démon lançât l’attaque totale de l’armée noire. Mais la surprise ne s’arrêtait pas là. Une vague immense, que dis-je, un tsunami de plusieurs mètres de haut inondât les plaines, se dirigeant comme par magie,  vers l’armée lancée sur les Pandas. C’était les pandawas de l’eau, aux forces combinées, qui avaient crée cette vague de la plage. Une fois la vague passée, ils rejoignirent le reste des troupes.

                L’effet escompté par le Granpanda se déroulais aux pieds de se dernier, l’armée des dix milles ne méritais déjà plus sont nom. La vague avait inondé et désorienté l’ennemi. C’était l’heure de passer à la suite du plan. Les pandas de la terre s’avancèrent à leur tour pour rejoindre leurs compatriotes. Ils lancèrent la gueule de bois rendant le sol plus glissant que la surface d’un lac gelé.

                Les quelques démons qui continuaient leurs course étaient repoussée par les souffles, flasques, pandataks, les plus proches glissaient sur la gueule de bois. Quand ils relevaient la tête, une hache la leur tranchait. Les pandas tinrent plusieurs heures ainsi. Mais l’armée noire était toujours en surnombre et la gueule de bois finit par être absorbée par le sol. Les quatre généraux sur leurs dragodindes prirent alors la tête de la dragodinderie suivit par les soldats à pieds, toutes armes dehors, et dévalèrent les reliefs sur lesquels ils avaient pris position et rentrer au contact de l’ennemi.

               

                Beaucoup de pandas moururent lors de cet assaut. Mais tous les pandas avaient compris que le but de cette attaque n’était pas de gagner ; Mais d’affaiblir l’ennemi. Malgré cela aucun panda n’a déserté son poste, tous sont allés au combat. Quitte à mourir, autant le faire en montrant la bravoure de tout son peuple.

                Des quatre cent cinquante trois, à peine une centaine revint sur pandala tous sur le même navire. Les généraux étaient morts, de la dragodinderie ne restait que deux montures et le bras d’un dragodinlier de retour au pays pour se faire enterrer avec les honneurs.

                Le but était atteint. L’armée noire avait perdu en nombre. Devenue moins nombreuse que l’armée bontarienne, Djaul rentrât ses troupes à Brâkmar.

Une fois sur l’île, les Pandas retrouvèrent leurs enfants et les invalides, ivres-morts, dans les tavernes. Mais la reconnaissance leur fût apportée par la création d’un immense pont les reliant au continent.

Les Pandawas reprirent difficilement un rythme de vie normal. En sous nombre pour travailler dans des champs de riz ou de pandouille, pour couper le bambou ou distiller et faire de l’alcool.

 

Les premières tensions naquirent ainsi, mais ça, c’est une autre histoire.

 

                                               Cet œuvre est signé par Gok Pandouwa, ka feu, deuxième ligne.

                                               Récit retrouvé dans les archives de la bibliothèque de Pandala, rayon guerres et rasades.

 

4 novembre 2013

Légende

La Légende de Camélia

Camélia, était une jeune confectionneuse de poupée et la plus belle des Sadidas. Nombreux étaient ses prétendants mais seul un sadida pris son cœur.

                A l’époque où les démons pullulaient dans le monde des douze, Oak, brave et fière guerrier sadida, capitaine de son état, était de toutes les batailles. La plus dure qu’il ait eu à mener fût celle pour le cœur de Camélia. Enfin, c’est ce qu’il croyait.

                Tous deux coulaient des jours heureux, chaque départ d’Oak pour la bataille Camélia pleurait de tristesse et d’inquiétude. Mais chacun de ses retours elle pleurait de joie et ils finissaient la nuit à s’aimer.

                Cependant L’amour de Camélia pour Oak faisait beaucoup de jaloux. Camélia était tellement belle que tous souhaitaient la mort de son amant.

                Lors d’une bataille gagnée d’avance contre un démon mineur. Tous les guerriers étaient présent, deux cent guerriers en ligne face au démon. Lorsque Oak lançât la charge, il chargeât seul face au démon, ses guerriers ne l’avaient pas suivit.

                Malgré sa force, sa technique et maîtrise de la flore, il fût réduit en charpie. Ce qu’il restait de lui tint dans une boite de Kanigrou.

                Les reste du guerrier furent ramenés à Camélia qui folle de tristesse ne s’arrêta jamais de pleurer. Elle ne cherchât pas de nouvel amant. La traîtrise des soldats envers leur capitaine n’avait pas porté ses fruits.

                Mais un jour, Walnut, prétendant de Camélia, malheureux de la voir si triste, eut le courage d’avouer ce qu’ils avaient fait lors de la bataille où Oak perdit la vie.

                Camélia qui était folle de chagrin devint alors folle de rage. Elle lança toutes ses poupées sur les guerriers Sadidas. L’attaque causât d’énormes dégâts et après l’assaut on ne retrouvât que quelques morceaux de guerriers.

                La belle endeuillée s’enfuit au cours de l’invasion des poupées. Personne ne la revit. La belle avait perdu toute foie en les sadidas, les hommes et l’amour.

On dit aujourd’hui on dit qu’elle s’est réfugiée dans la forêt des Abraknydes.

Elle y confectionnerait des poupées par milliers pour se défendre des aventuriers qui cherchent à la capturer dans le but de la livrer au peuple Sadida contrarié.

Jeunes aventuriers, rappelez vous ceci, s’il vous vient l’envie de vous balader dans cette forêt ;

Si vous croisez une poupée, fuyez !

Ou ce sera la dernière chose que vous verrez.

 

                Recueil des Contes et Légendes du monde des douze, Tome III, La légende de Camélia.

                                                                                              Par Xiev Tëga

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4 novembre 2013

En préambule

Etan un grand fan du MMORPG Dofus et de son background riche et en constante évolution, je m'en inspire pour créer mes propres histoires.

Ces fan-arts ne font en aucun cas parti du background de ce jeu.

Il s'agit là d'un blog personnel qui recence tout mes petits trucs. Je vous prie de bien vouloir vous rappeller cela avant de laisser tout commentaire.

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